«C'est inextricable. Il existe sans doute une centaine voir plusieurs centaines de propriétaires dont les biens sont enfouis sous le sable.» Jacques Storelli, le président de l'association de défense et de promotion de Pyla-sur-Mer rappelle qu'une grande partie de la dune est aux mains de propriétaires privés. Le chiffre incertain de 500 hectares est avancé... Une toile dont il est difficile de connaître les contours. Un risque pour les associations qui s'impatientent de voir le conservatoire du littoral devenir propriétaire des lieux. «On ne sait même pas qui paye l'impôt foncier», s'interroge Jacques Storelli qui met en garde: «Gare au processus d'urbanisation. Heureusement, la dune recule de deux à trois mètres par an. C'est peut-être ce qui nous retient encore un peu de la pression immobilière. La nature gagne toujours!» E. B.
Montre Zenith
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